Sublime, le nouveau long-métrage de James Gray est un film d’aventures à la fois intime et épique, comme Hollywood n’en avait plus produit depuis bien longtemps !

Longtemps considéré comme un projet suicidaire, « la Cité perdue de Z » est sans conteste un sommet de l’œuvre de l’un des plus grands réalisateur américains de notre temps (« Two Lovers », « La Nuit nous appartient », « The Yards »).

Gray s’est inspiré de l’histoire vraie du colonel Percy Fawcett qui, en 1906, quitta l’Angleterre pour aller explorer l’Amazonie, à la recherche d’une mystérieuse civilisation perdue, au risque de sacrifier sa famille, sa réputation et même sa vie…

Adeline Stern

Actrice et réalisatrice née à Belgrade, comédienne chère à Kusturica, Mirjana Karanović a joué dans plus de trente longs-métrages à ce jour, dont « Das Fräulein » de Andrea Štaka.

Dans « A Good Wife », son premier film en tant que réalisatrice, elle prend les traits inoubliables de Milena, une mère de famille qui va faire acte de résilience face aux traumatismes de la guerre et de la vie.

Dans un quartier résidentiel aisé de Belgrade, Milena mène avec son mari et ses enfants une vie sociale bien remplie, jusqu’au jour où elle tombe sur une vidéo qu’elle aurait préféré ne jamais voir… Un drame intimiste et poignant, qui accomplit un travail de mémoire indispensable.

Adeline Stern

Dimanche 30 avril

dès 9h Gratiferias (Marché gratuit)

Dimanche 30 avril à 11h Qu’est-ce qu’on attend ? (Mouvement Transition)

Le film ne sera pas suivi d’un brunch participatif mais s’inscrira dans une journée « Gratiferias » (marché gratuit) ou tous pourront partager objets, cuisine et autres…

Samedi 29 avril à 18h

En présence de la réalisatrice !

Dimanche 9 avril à 17h30

En présence du réalisateur !

Dimanche 2 avril à 17h30

En présence de la réalisatrice !

Jeudi 27 avril à 20h, 8 Ciné-Journaux suisses, présentés par Michel Dind, directeur du centre d’archivage de Penthaz. 2 films de Florian Campiche, « Quand revit l’époque dorée » et « Boîtes à musique et automates : Voyage au pays des merveilles » (1957).

Samedi 1 avril à 20h30

« C’est rond parce que les drums sont ronds, c’est triangle parce que la harpe est presque triangle, et c’est carré car la flûte n’est pas carrée… »

En 1916, dans les vapeurs du Café Voltaire à Zurich, se tisse le début de l’histoire dada. Cent ans ont passé et le mouvement est devenu célèbre.

Avec 1916, le Dada String Quartet propose un ciné-concert basé sur une sélection de ses films coups de cœur :

Ghost before breakfast de Hans Richter… chapeaux ronds…

Anemic Cinema de Marcel Duchamp… boucles hypnotiques…

Emak Bakia de Man Ray… jambes faisant du banjo…

Le retour à la raison de Man Ray… Kiki de Montparnasse…

Le ballet mécanique de Fernand Léger… échelles sans fin…

Rythmus 21 de Hans Richter… carrés/rectangles…

Né d’un rêve dada aux environs de 7h02 dans un champ de coquelicots sauvages, le Dada String Quartet est une combinaison de trois musiciens éclectiques, Violaine Contreras de Haro, Park Stickney et Alexandra Bellon.

Mercredi 29 mars dès 19h, assemblée générale "Mon ciné et Amis du Royal" (ouverte à tous !).

Suivie à 20h30 du film "De l’autre côté de l’espoir" (entrée gratuite pour les membres).

Le film ne sera pas suivi d’un brunch participatif mais s’inscrira dans une journée « Gratiferias » (marché gratuit) ou tous pourront partager objets, cuisine et autres…

Journaliste d’investigation expérimentée, Marie-Monique Robin s’est immergée dans une petite commune alsacienne de 2200 âmes, qui a fait le pari de la transition écologique.

Ancien mineur au sourire bienveillant, le maire d’Ungersheim entend rendre son village autonome, grâce à un programme de démocratie participative baptisé « 21 actions pour le XXIe siècle ».

Centrale photovoltaïque, labour à cheval, monnaie locale (le radis), repas bio dans les écoles, paniers hebdomadaires… Ungersheim fait désormais figure de laboratoire grandeur nature du « mieux vivre ». La preuve par l’exemple que les alternatives existent !

Adeline Stern