Présenté en avant-première le dimanche 6 septembre à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec les réalisatrices puis du verre de l’amitié.

Après « La Petite Chambre » (2011) où elles racontaient l’échappée belle d’un vieil homme qui ne pouvait se résoudre à sa fin (Prix du cinéma suisse), Stéphanie Chuat et Véronique Reymond livrent un second long-métrage de fiction à très haute teneur émotionnelle. 

Pour preuve, en février dernier, « Petite sœur » (« Schwesterlein ») a eu le don rare d’émouvoir jusqu’aux larmes le public de la Berlinale où il était présenté en compétition !

Brillante auteure de théâtre, Lisa (Nina Hoss) n’écrit plus. Elle vit en Suisse où elle s’est consacrée à sa famille, mais son cœur est resté à Berlin, là où travaille son frère jumeau Sven (Lars Eidinger), célèbre acteur de théâtre. Ce lien s’est encore resserré depuis qu’elle a appris que Sven souffre d’une leucémie. Arque-boutée contre la fatalité, Lisa va tout faire pour qu’il remonte sur scène. Ce faisant, elle ravive en elle une flamme qu’elle croyait éteinte…

Présenté en avant-première le dimanche 6 septembre à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec les réalisatrices puis du verre de l’amitié.

Le samedi 5 septembre à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur puis du verre de l’amitié.  

Dans un petit village de la campagne cubaine, Leonel, neuf ans, et Antuán, treize ans, passent leurs vacances d’été livrés à eux-mêmes. Entre errance et jeux d’enfants, les deux garçons trompent leur ennui avec les moyens du bord.

Tandis qu’ils échafaudent un plan pour se rendre à la plage la plus proche, Antuán annonce à Leonel qu’il va déménager à La Havane à la fin de l’été. Jusque-là inséparables, les deux amis prennent alors conscience qu’ils sont à un tournant de leur existence, à l’instar d’une île de Cuba en pleine métamorphose.

Avec une belle sensibilité, « Baracoa » saisit ce moment à la fois particulier et si universel d’une enfance qui touche à sa fin. Coproduit par la Suisse, l’Espagne et les Etats-Unis, ce documentaire a été sélectionné dans une ribambelle de festivals, dont celui de Berlin.

Le samedi 5 septembre à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur puis du verre de l’amitié.

Les dimanches 6 et 13 septembre, le film sera suivi d’une dégustation, dès 17h, des glaces « Des délices de Toto », miam ! 

Publiées pour la première fois en 1892 sous la plume d’Emile Durafour, « Les blagues de Toto » ont fait rire des générations de lecteurs et de lectrices. Réactualisé dès 2004 via les BD de Thierry Coppée, ce personnage de cancre fait ses débuts au cinéma dans une adaptation signée Pascal Bourdiaux. 

Fils de parents séparés mais restés en bons termes, Toto est de retour à l’école, au grand dam de sa nouvelle maîtresse. Le jeune élève n’en fait évidemment qu’à sa tête et brille par l’intelligence de son impertinence ! 

Lors de l’inauguration d’un musée d’art contemporain conçu à la gloire du magnat de l’immobilier local, Toto est accusé d’avoir endommagé l’une de ses pièces maîtresses. Avec l’aide de ses nouveaux camarades, il va devoir prouver son innocence…

L’irrésistible Gianni Di Gregorio est l’un des rares continuateurs de la comédie « à l’italienne » dont les Risi, Comencini, Monicelli et autre Scola furent les rieurs inoubliables.

Après les charmantes vieilles dames du « Déjeuner du 15 août », les latins lovers de « Gianni et les femmes » et les travailleurs désenchantés de « Bons à rien », l’acteur-réalisateur brocarde dans « Citoyens du monde » le troisième âge masculin.

Attilio, Giorgetto et le Professeur, trois sexagénaires romains fort démunis, rêvent d’aller finir leurs existences sous des cieux plus cléments. Pourquoi pas aux Açores, où la bière ne coûte qu’un euro quarante… Un petit bijou de tendresse douce-amère !

Samedi 29 août à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur.

« Shalom Allah » trouve son point de départ dans l’émission Arena qui, en 2010, confrontait Nicolas Blancho, leader islamiste en Suisse, et le conseiller national populiste Oskar Freysinger. 

Consterné par la pauvreté des arguments, le réalisateur et journaliste zurichois David Vogel a préféré susciter un véritable débat par le biais d’un documentaire qui part à la rencontre des personnes converties à l’islam en Suisse. Chaque année, elles sont plus d’une centaine, suscitant souvent l’opprobre de leurs proches ou voisin·es… 

Aïcha a quitté sa campagne natale et s’est fondue dans la grande ville anonyme pour suivre les règles strictes de sa nouvelle religion. Un couple fraîchement converti tente de faire front aux préjugés, alors que Johan se laisse pousser la barbe en bon musulman qu’il aspire à être…

Samedi 29 août à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur.

Le dimanche 30 août à 18h, en présence de la réalisatrice et de Valérie Lebon, communicatrice animale.

Maîtresse d’une chienne très agitée, la cinéaste Salome Pitschen veut comprendre pourquoi sa protégée adopte un tel comportement. Dans ce but, elle approche plusieurs personnes qui ont développé différentes méthodes de communication animale.

Partant, la réalisatrice s’entretient avec des dresseurs de chevaux du Cirque Knie, une thérapeute corporelle qui met en relation animaux et êtres humains ou encore le créateur de la fameuse « Trust Technique », une experte du « dialogue animal intuitif »…

Qu’est-ce qui incite ces gens à vouloir « parler » avec les animaux ? Quelles sont leurs méthodes et quels enseignements peuvent en retirer la cinéaste et son chien ? Un questionnement ponctué par des scènes animalières stupéfiantes !